CMHO Derniers travaux
Santé mentale pour enfants Ontario joue un rôle de chef de file dans la promotion d'investissements, de politiques et de programmes gouvernementaux qui répondent aux besoins des enfants, des jeunes et des familles qui recherchent des services de santé mentale en Ontario.
Bon moment, bons soins : Renforcer le système ontarien de soins de santé mentale et de lutte contre les dépendances pour les enfants et les jeunes
Les écoles sont particulièrement bien placées pour identifier les besoins en santé mentale et soutenir une intervention précoce, car les enfants et les jeunes y passent une grande partie de leur temps. Souvent, ils rencontrent des besoins uniques qui sont mieux traités par les organismes communautaires de santé mentale, mais les prestataires de services dans les écoles ne savent pas toujours comment, quand et où diriger les enfants, les jeunes et les familles vers l'accès aux soins. Cette ressource fondamentale a été élaborée pour soutenir un système de soins intégré entre les secteurs de l'éducation et de la santé mentale et des dépendances des enfants et des adolescents. Le document, qui s'adresse aux dirigeants des écoles et des organismes communautaires de santé mentale et de lutte contre les dépendances des enfants et des adolescents, décrit quatre fondements communs d'un système de soins, décrit les rôles et les responsabilités ambitieux des partenaires, détaille l'importance des parcours de soins et explique les clés facteurs qui soutiennent la mise en œuvre.
Retour à l'école pendant le COVID-19: considérations pour les fournisseurs de services de santé mentale communautaires pour enfants et adolescents de l'Ontario
Le gouvernement de l'Ontario a déclaré l'état d'urgence le 17 mars 2020 pour empêcher la propagation du COVID-19. Cela a entraîné la fermeture d'écoles, de garderies, de nombreux établissements de services publics et d'entreprises. Six mois de quarantaine et de restrictions de distance physique ont conduit à une série d'impacts sociaux et économiques en cascade. De plus en plus de preuves démontrent les effets négatifs de la pandémie sur la santé mentale et le bien-être des enfants, des jeunes de l'Ontario et de leurs soignants - en particulier parmi ceux qui ont des problèmes de santé mentale préexistants (Hawke et coll., 2020; CMHO, 2020; Radomski et coll. ., 2020a; 2020b).
Bulletin annuel de CMHO: Le fardeau de la maladie mentale chez les enfants sur les familles et l'économie
CMHO a publié sa carte de rapport annuel, divulguant nouveaux résultats de recherche du Centre canadien d'économie de la santé de l'Université de Toronto calculant une perte de productivité en Ontario (due à l'absentéisme) de 421 millions de dollars en 2017 pour les parents d'enfants qui éprouvent des problèmes d'anxiété. Cette nouvelle recherche a été menée en réponse à Affaires publiques Ipsos 2017 de CMHO enquête qui a révélé qu'un parent ontarien sur quatre a déclaré s'absenter du travail pour s'occuper d'un enfant ayant des problèmes d'anxiété. Le bulletin de cette année comprend également les résultats d'une série d'entrevues réalisées avec des parents et des soignants de l'Ontario qui ont cherché un traitement pour les problèmes de santé mentale d'un enfant, ainsi que des résultats de sondages auprès de frères et sœurs de jeunes atteints de maladie mentale.
Les enfants et les familles de l'Ontario ne peuvent pas attendre
Les centres de santé mentale pour enfants et adolescents de l'Ontario (CYMH) offrent des services de santé mentale à plus de 120,000 18 enfants et à leur famille chaque année. Mais, partout dans la province, des milliers de nourrissons, d'enfants et de jeunes attendent jusqu'à XNUMX mois pour le traitement dont ils ont besoin. Et de nombreuses familles ont du mal à savoir où trouver de l'aide ou à trouver nos services. En tant que système et en tant que province, nous échouons à ces enfants et à ces familles. Et nos hôpitaux, nos écoles, nos systèmes de justice, nos collèges et nos universités et notre économie en ressentent les effets.
Avec 1.9 milliard de dollars de nouveau financement pour la santé mentale du gouvernement provincial et un engagement fédéral équivalent au cours de la prochaine décennie - totalisant 3.8 milliards de dollars - il y a enfin une occasion de s'attaquer à la crise de la santé mentale des enfants et des adolescents.
70% des problèmes de santé mentale et de toxicomanie commencent dans l'enfance. En mettant en œuvre notre plan First Point, nous pouvons obtenir de meilleurs résultats tout au long de la vie et apporter une aide désespérément nécessaire aux familles et aux hôpitaux surpeuplés. Des investissements stratégiques de 150 millions de dollars supplémentaires par an nous permettront d'embaucher et de former 1,400 professionnels de première ligne pour:
Garantir l'accès au counseling et à la psychothérapie dans les 30 jours
Élargir les services spécialisés de santé mentale et de lutte contre les dépendances pour les jeunes afin de garantir que les enfants et les jeunes reçoivent le traitement dont ils ont besoin
Mettre à l'échelle les services de soutien en cas de crise 24 heures sur 7, XNUMX jours sur XNUMX pour s'assurer que les enfants et les familles n'ont pas à se rendre aux urgences
Enquête sur la santé mentale des enfants et des jeunes avec Ipsos
Santé mentale pour enfants Ontario (CMHO) a publié en novembre 2017 les résultats d'une enquête commandée * avec Ipsos Public Affairs qui montre un parent ontarien sur quatre a manqué son travail pour s'occuper de son enfant aux prises avec des problèmes d'anxiété. L'enquête révèle également qu'il y a un nombre significativement plus élevé de parents en Ontario qui recherchent des services de santé mentale pour leurs enfants qu'on ne le pensait auparavant (36% contre 20%1) et parmi ceux qui le font, quatre sur dix n'ont pas reçu l'aide dont ils avaient besoin ou attendent toujours.
L'enquête a sondé la population générale des Ontariens et des parents ayant des enfants de moins de 25 ans et des jeunes Ontariens âgés de 18 à 34 ans. Les jeunes de 18 à 24 ans ont été interrogés sur leurs expériences actuelles et les jeunes de 25 à 34 ans ont été invités à réfléchir à leurs expériences de jeunesse.